Je viens de me rendre compte que le parti s'éffrite, que ma carte est périmée, que son score est minable et que même ses idées ne valent pas un bon cd à la fnac piraté sur emule-merci-le-monde, anarchie née du capitalisme sauvage.

J'emmerde les majors, j'emmerde le parti. Je dis merde à Pamela et je dis merde à Arlette. Je mets des cailloux dans le pétrole et les chars tombent, je mets des euros dans le pétrole et il coule toujours, le sang des innocents. Je tue des vieux, je donne du travail. Je vole les vieux, je sauve un S.D.F. Libération sonne ton nom et pense pour nous petit peuple que tu aimes appelé ainsi mais que tu méprises. J'appelle le Baron à la démission.

Je t'ai defendu, homme bossu. Mais des promesses d'aucune tu n'as tenues. Le parti en reste sans vie. Je l'ai tué. Demain, je renais. Tin tin!