Aujourd'hui, j'ai été m'acheter des chemises. Un grand scoop. Y'avait même des journalistes pour couvrir l'événement. Heureusement mon service rapproché s'est occupé d'eux.
Ainsi, j'ai pu me retrouver enfin seul avec les deux vendeuses. Toutes les deux brunes, grandes, regard profond d'envies cachées. Une de 25 ans, une de 35. Que demander de plus? Qu'elle m'offre un kawa ce soir? Sans problèmes. J'ai fait un échange standard entre leur proposition de prendre des chaussettes assorties et ma proposition de leur offrir une soirée en mon illustre compagnie.

Non, je n'ai pas peur de me disperser, je suis multitâches et fait fonctionner mes deux lobes de manière simultanées. Ce qui me permet, comme vous l'avez compris, de mener deux conversations différentes de front.

Enfin, pour terminer cette journée palpitante, j'ai acheté de l'encens. Bien jouasse, l'heureux innocent qui, trop impatient de vouloir enfin sentir cette nouvelle fragrance, oubli, en rentrant chez lui, qu'il n'est qu'équipé électrique et que par conséquent il n'a pas de feu. Enfer et damnation d'aucune aide pour faire brûler ce bout d'encens.